Comme un refrain, une rengaine,
Le fascia de Gaïa
Iel est bienvenue.
Et je recommence,
Toujours recommence.
Marie, est avenue
Elle a donné au monde sa fille
Joseph est avenu
Le dernier des patriarches
Il s’est incliné devant la petite
Et il l’a pris comme fils Jésus ;
Jésus est charpentier devenu
Marie à Cana, iel a ouvert la voie.
Iel a enseigné
Faire éclore la fleur qui est au-dedans de nous
Les mots de CIEL qui est au cœur
Qui brille au-dedans du néant
Brille d’un amour sans fin.
Sans fin ni commencement dans le temps
Sans fin ni commencement dans l’espace
Dans la vie.
Et pour cet enseignement,
Iel a été condamné.
Iel était subversif
Iel n’était pas transgressif.
Iel a été écartelé
Sur les poutres de bois
Dont c’était le métier.
Les forêts s’en souviennent.
Iel a ressuscité
Les deux marient,
Les humaines, ont compris
L’enfant Jean aussi.
Iel a dû repartir
Devenir le fascia de Gaïa.
En l’an 33.
Du début des temps
Jusqu’à l’éternel fin des temps.
Tout relié au fascia de Gaïa.
Toute vibration d’un point
Parcours le tout en écho
Tout lieu
Tout temps
Tout cœur
Elle brille du feu de CIEL qui est au cœur
Au-dedans de tout
Au-dedans de tous
Les danseuses l’ont compris
Les poétesse l’ont compris
Le féminin l’emporte sur le masculin.
Un homme est un humain qui ne peut porter un enfant.

Un homme est un humain qui ne peut porter un enfant.

