Les dialogues avec l’ange

Citations en marchant

Le vouloir est un mur et non une marche.
Mercredi 8 avril 2020

CEUX QUI QUESTIONNENT SONT PLUS CHERS DEVANT LUI QUE CEUX QUI SAVENT.
Jeudi 9 avril 2020

A UNE VRAIE QUESTION, VIENT LA RÉPONSE.
Dimanche 12 Avril 2020, dimanche de Pâques

La science est l’enfant de l’émerveillement.
Ne la méprisez pas.
L’émerveillement et la curiosité sont deux.
Il y a beaucoup de curieux,
Mais il y a eu des émerveillés.

AUTOUR DE CELUI QUI SAIT S’ÉMERVEILLER,
ÉCLOSENT LES MERVEILLES.

Je t’enseigne :
Fais attention dans tes cours à l’harmonie.
L. A l’harmonie en moi-même.
– Non. Tu as beaucoup d’élèves ensemble.
Tous ne sont pas faits pour être ensemble,
mais tous sont faits pour être avec toi.

Le retour du parcours de ce chemin

Ce qui prend tout son sens, ce n’est pas un Futur calculé, mais bien un à venir inattendu et renouvelé.

Cosmos ! Univers unique comme question héritée de Newton, 4 dimensions et d’autres que devine la mécanique quantique. LE Cosmos donc, qui EST plutôt que de N’ÊTRE PAS. Bien au-delà d’un secret (découvrable, inavoué, dissimulé), LE mystère (inconnaissable, inaccessible) comme expérience à vivre.

Et dans COSMOS, des êtres humains vivent les expériences d’au-delà de nos 4 dimensions accessibles et quotidiennes, si banales.

Et puis, dans nos vies, au cœur même de nos intimités singulières, où git encore le plus profond mystère, celui qui appartient aux portes spirituelles, nous lisons le témoignage d’une de ces expériences à travers l’outil imparfait que sont les mots, imparfaite est l’écriture de ces mots sur un papier que le temps altérera.
Cette expérience réveille quelque chose en nous qui semblait dormir ou du moins qui semblait en pause.

Et bien, c’est cette lecture, cette rencontre, cette expérience que j’ai vécu avec les dialogues avec l’Ange.

En ce temps là, je voulais que tous le lise, tant j’en avais été bouleversé, tourneboulé, retourné, comme Marie Madeleine se retourne deux fois dans l’évangile de Jean.
Et oui, je fus déçu du retour de mes amies et amis, compagnonne et compagnons, camarades ! Mais c’est moi qui avais tort. Maintenant je témoigne et, je sais qu’il existe d’autres paysage a exploré, d’autre lecture, d’autre états qui peuvent être approché. Les dialogues me correspondaient, mais ils ne correspondent peut-être pas à tous et cela n’enlève rien à leur cheminement à travers la vie et à travers le Cosmos, il n’y a pas de meilleure façon pour explorer son intimité profonde que d’user de la sienne propre, de sa singularité.

Notre-Dame-des-Fleurs par Jean Genet

Bien ! Voilà voilà. Ne soyez pas trop fâché contre moi.

41 ans plus tard je relie Jean Genet et plus particulièrement Notre-Dame-Des-Fleurs. Aujourd’hui comme hier je n’aime pas plus Tintin. Comme à l’époque ce roman reste un Tintin « Bad boy ». Tintin de la Prison à Michou. Ce que je n’aime pas chez Tintin se résume a peu de chose, mais rédhibitoire pour moi.
Tintin est ultra bavard, trop de texte pléonasme du Dessin.

Dans tintin, l’humanité est tronquée de sa moitié, sa moitié féminine.
La seule femme que l’on décrive est une caricature féminine ou tout le genre s’y retrouve, Bianca Castafiore.

Et bien dans ce Roman de Genet c’est de même. La seule femme du roman est une mauvaise mère et les hommes se partagent les deux genres, le masculin et le féminin et toujours dans une outrance très théâtrale.

Au début cela m’a fait sourire et plus j’avançais dans la lecture, plus cela me démangeait et cela finissais même par m’irritais. Cette appropriation du genre féminin et du rejet des femmes me conduisait doucement à la colère.

En 1980, je m’étais fâché avec un ami qui « A-DO-RAIT ! » ce roman et sur sur son insistance j’avais lu une partie de l’œuvre de Genêt, et, lui il refusait de lire Dune, il considérait que c’était de la sous-littérature.

Il y a prescription.

Toutefois 41 ans plus tard j’éprouve les mêmes réserves vis-à-vis de Genet. Bien sur, je le trouve Transgressif à souhait et à plaisir sans être aucunement Subversif. Il possède déjà tout ce qui fera la gloire du CANAL + des années 90.
Il y a chez Genet une sorte de mépris pour une grande partie des humains. Je crois que je n’aurais pas aimer fréquenter le bonhomme. Je sais bien qu’il inverse les valeurs et explore avant l’heure le genre, il a une belle écriture mais… Mais, a cause de ce sentiment de mépris un peu hautain et mâtiné de dandysme sombre, je ne relirais pas plus avant son œuvre.