En cheminant dans ces nouvelles, j’ai rencontré quelques belles images. Comme cette jeune femme, jeune fille de 16 ans enceinte du Christ. Et cette image est envahi par un chœur d’homme, des moines chantant leur amour avec leurs belles voix graves. Mais, tristement, cette belle idée s’effiloche dans une médiation brumeuse et alors je perds l’image.
A la fin comme je referme définitivement le codex, il ne me reste qu’une vague impression d’inabouti. Oh, non, pas que ce soit désagréable mais une impression d’avoir consommé une pensée un peu superficielle, un divertissement intellectuel de faible amplitude, un faux prophète qui écrit de fausses paraboles.
Le jour de ma fin de lecture correspondait à la publication d’un article mathématique qui démontrer que vouloir prouver la non-existence de Dieu est irrationnel.
Étrange journée…