« Les couilles de Macron, ou, Les seins de Pécresse ? »
Se demande t’il assis devant le crane de sa civilisation qui crève dans la peur et la haine !
Alors, il remonte élégamment sur le pont du Titanic siffler dans le ciel étoilé une dernière mélodie. Il danse sous les étoiles nocturnes pour la beauté du geste et l’amour de Dieu !
Le naufrage est là, devenons humus à l’avenir de ceux qui viendront après nous. Ils seront d’une présence inattendue.
Il avait en lui ce Psaume 71 – 2022
Peuple, donne au Président tes pouvoirs,
À ces enfants de Roi ta justice.
Que le président gouverne avec justice,
qu’il fasse droit aux malheureux !
Il délivrera le pauvre qui appelle
et le malheureux sans recours.
Il aura souci du faible et du pauvre,
du pauvre dont il sauve la vie.
Mais la Foi s’est perdue dans l’excès de cette liberté de petit garçon de cinq ans (la petite fille au même âge a déjà franchi moult caps).
La Foi s’est perdue dans l’excès d’hédonisme devenu frustration, je veux jouir tout de suite de tout, Éros devenu cupide Cupidon.
La Foi s’est perdue dans l’usager, le citoyen, le patient devenu unique Client de tout. Le Client pensait être unique, il est comme tous, un zombie en putréfaction qui ne s’offre plus d’avenir tant il a voulu calculer son futur.
La Foi s’est perdue dans des églises qui ont trahis et des bourgeois apeurés courant au marché trouver une télé de consolation. Les garçons s’agglutinent au match et se rassurent en pensant faire peuple à drapeau par la haine de l’équipe d’en face. Ils sont Clients Zombis du marché Foot !
Alors voilà où nous en sommes. De nos choix de Client du marché politique il nous reste deux produits, et c’est le même :
« Les couilles de Macron, ou, Les seins de Pécresse ? »
