Quatuor n°4 par Anne Teresa De Keersmaeker, avec cette chanson de Bashung !
Et vous serez au fondement de ce que j’aime ! De ce j’aurais aimer rencontrer comme inattendu dans cet univers. En ces temps de Confinement, de Covid qui dissimule la plus grande crise économique de l’idéologie néolibérale. Cette idéologie est si peu courageuse qu’elle se cache derrière un Virus appartenant au grand cycle de la vie.
Laisse venir, laisse venir
Laisse venir
Laisse venir
Laisse venir
Laisse venir
Laisse venir
Laisse venir
Laisse venir
Laisse venir
Laisse venir
Tu perds ton temps
À mariner dans ses yeux
Tu perds ton sang
Tel Attila
Tel Othello
Tu te noircis
Dans quoi tu te mires
Dans quel étang
À l’avenir
Laisse venir
Laisse le vent du soir décider
À l’avenir
Laisse venir
Laisse venir
L’imprudence
Tu l’auras toujours, ta belle gueule
Tu l’auras, ta superbe
À défaut d’éloquence
Tel Machiavel
Tel Abel Gance
Tel Guillaume Tell
À quoi tu penses?
À quoi tu penses?
À l’avenir
Laisse venir
Laisse le vent du soir décider
À l’avenir
Laisse venir
Laisse venir
L’imprudence
Tu perds ton temps
À te percer à jour
Devant l’obstacle
Tu verras
On se révèle
Tel Perceval
Tel Casanova
Tel Harvey Keitel
À l’avenir
Laisse venir
Laisse le vent du soir décider
À l’avenir
Laisse venir
Laisse venir
L’imprudence
L’imprudence
Laisse venir
Laisse venir
Laisse venir
L’imprudence