Extraits
D’un bras à l’autre s’ouvre sans traîtrise
ta poitrine entière, pâture d’amour ;
au creuset de ton agonie, terrible,
tu embrasses l’infini dans les bornes
du chemin du soleil qui ne se couche
ni jamais ne se lève…
Chevelure…
Libres à l’air libre ils recueillaient les perles
de la rosée de l’aube sur lesquelles
le soleil a fait briller des éclats
de l’arc céleste de promission.
Ils te furent oreiller sur les chemins
quand sur la terre dure tu posais
ta tête ; les renards ont des tanières,
les oiseaux ont des nids, mais nul abri
tu n’as eu pour Toi, divin mendiant.
Expérience de lecture
à venir…
… et à venu
Une personne humaine, il y a 2000 ans réenchante la spiritualité d’un temps devenant calculateur. Il meurt et provoque l’apparition d’un lumière que l’on n’a pas finis d’explorer.
Une personne humaine, au 17ème siècle peint l’instant ou la première personne humaine délivre sa lumière. Cette représentation invente une nouvelle lumière un nouveau regard sur le premier.
Une personne humaine en Espagne, au 20ème siècle, un homme regarde ce tableau et plonge dans les mots pour nous l’offrir en poème. Et nous avons toutes les dimensions et reviennent toutes les questions.
Nous, personnes humaines qui recevons, nous faisons nos choix et là question nous est posée : Qu’avez-vous fait de toute cette lumière ?
Nous sommes alors bien loin de la fade littérature proposé en 2019 sur le Christ. Quelque chose nous est offert, libre a nous de l’accepter !