Il m’arrive de penser que la mélancolie est de l’anti-hystérie
Et en écoutant Bashung je suis pris de nostalgie.
Page 172 des enfants de Dune dans la nouvelle Edition Ailleurs et Demain, en fin de page :
Un adage Bene Gesserit s’impose à son esprit :
« Soupçonner sa propre mortalité, c’est connaitre le commencement de la terreur. Apprendre irréfutablement que l’on est mortel, c’est connaitre le terme de la terreur.
J’ai mis du vent
J’ai mis du vent sous mon chapeau
J’ai mis du tango sur ma peau
J’ai mis du son
J’ai mis du silence et de l’eau
J’ai mis du sens à tous les mots
Tu vois
Ça fait longtemps que j’me déguise
Là-bas
J’ai laissé tomber mes valises
Y avait des cerfs-volants
Qui flottaient sur la mer
Au sud de Montevideo
Quelques milliers d’amants
Qui s’embrassaient par terre
Et j’ai failli tomber de haut
J’ai mis du temps
Pour oublier que j’t’aimais trop
J’ai mis du temps à t’faire la peau
J’ai mis du vent
J’ai mis du vent sur ma moto
J’ai mis du vertige et de l’eau
Tu vois
Ça fait longtemps que j’me fais peur
Des fois
J’me dis qu’j’vais m’enfuir avant l’heure
Y avait des cerfs-volants
Qui flottaient sur la mer
Au sud de Montevideo
Quelques milliers d’amants
Qui s’embrassaient par terre
Et j’ai failli tomber de haut
Y avait des cormorans
Qui fixaient les falaises
Au sud de Montevideo
Quelques milliers d’enfants
Qui chassaient les sirènes
J’ai dérivé jusqu’à Rio
Source : LyricFind
Paroliers : Alain Bashung
Paroles de Montevideo © Universal Music Publishing Group