En 1982, j’avais 20 ans
Ma poésie était brutale
Mes cheveux roux
Mon futur sans espoir
Mais l’avenir m’attendait
Avec son lot inattendu
La porte s’ouvrait
Et me montrait la permanente création
1982, j’avais 20 ans
Et Quelqu’un quelque part en été,
Et elle est arrivée…
Reste, je brûle à petit feu
Avec moi sous la pluie, à marcher sous la pluie douce
En appelant mon nom
Vois, je brûle à petit feu
Des jours brillants, dès le réveil
L’ombre de ces jours changera tous les jours
Des souvenirs, mémoire d’or brûlant
Les souvenirs de l’or du jour me transformaient alors
Il y a quelque part un endroit,
caché à mille regards
Et quelque part quelqu’un
qui peut voir ce que je vois
Quelqu’un, quelque part, en été
Quelqu’un, quelque part, en été
Quelqu’un, quelque part, en été
Les instants se consument, des nuits d’or qui brûlent lentement
Voir encore les lumières de la ville, portant les bougies à la flamme
Des jours brillants, dès le réveil
L’ombre de ces jours me changera chaque jour
Il y a quelque part un endroit,
caché à mille regards
Et quelque part quelqu’un
qui peut voir ce que je vois
Quelqu’un, quelque part, en été
Quelqu’un, quelque part, en été
Quelqu’un, quelque part, en été
Quelqu’un, quelque part, en été
Quelqu’un, quelque part, en été
Par chance, vous êtes resté poète, merci, très bonne journée
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