A la fille de l’automne

À l’heure des adieux
Je sus la fragilité
Du lien amoureux
Lorsque ma main sur sa manche
N’eut raison d’un coup de vent

Akiko Yosano / poétesse japonaise (1878-1942)


Ce lien d’amour n’était que celui du corps,
Il lui avait fait rêver d’une autre porte.
Elle avait souhaité que fleurisse l’éternel
Le lien de l’esprit n’avait pas pris racine.

Poétesse je pleure sur nos faiblesses
Mais tu savais ta lumière
D’humaine.
« Un homme est un humain qui ne peut porter d’enfant »