Marie-Madeleine femme évangélique par Jean-Pierre Ravotti

Citations

« Je dois faire ici un aveu : je suis beaucoup plus séduit par ce que Marie-Madeleine a à nous dire que préoccupé de savoir qui elle fut très exactement, et cela malgré l’attrait indéniable qu’exerce sur moi l’énigme de son identité. »

« Nous avons le droit et le devoir de profiter des saints », disait Paul Claudel.

C’est là toute la grâce de la prière, comme l’avait si bien compris ce « simple » paysan auquel le curé d’Ars demanda ce qu’il disait au seigneur pendant les longs moments qu’il lui voyait passer à l’église, fixant le tabernacle, et qu’il lui répondit :

« Je ne lui dis rien : je le regarde et il me regarde. »

Durant la visite chez mon étiomédecin, nous abordâmes le sujet du divin. Pour Jean-Louis Brinette (fondateur de l’étiomédecine) Dieu est la représentation du point le plus loin dans le futur de l’univers. Il rayonne de manière dé-chronologique vers notre présent. C’est donc une relation externe de pouvoir. Et pour répondre à ce Pouvoir, nous devons le regarder en face et notre regard change la nature de la relation, pour la transformer en amour. C’est l’enseignement de Jésus Christ. Ce « simple » paysan avait compris.
Dans ma foi,le Divin est présent a l’aube des temps, c’est ce don d’amour qui permit à l’univers d’exister.

Et ce que j’en vécu

Jean-Pierre Ravotti écrit :

J’aime aussi Marie-Madeleine parce qu’elle n’est pas un personnage étriqué, guindé, ni une sainte-nitouche, ni une vieille fille renfrognée, mais une femme d’audace, une chrétienne qui ose. Le père Bruckberger l’a si bine dit : « Elle voit grand, elle aime grand, elle ne frappe qu’aux portes dont le marteau est à hauteur de cavalier. Par sa seule beauté, par son style ; par la hardiesse et la justesse de ses gestes, elle est trop spectaculaire. Elle est provocante. elle provoque l’admiration et, du coté de l’ombre, la colère. »

Et je trouve touchant cet amour pour la femme considéré comme l’apôtre des apôtres. Cet essai permet de découvrir le rayonnement de cette sainte en Provence. Elle possède quelque chose qui renouvelle « la bonne nouvelle ».

Pour ceux qui veulent découvrir, lisez ce petit livre sans hésitation.

Berserk Tome 14 à 16

Planches aimées

Le cycle des enfants perdus

L’arbre de vie des traditions humaine est devenu ici un arbre de mort.
Guts est entre deux petites filles, pas encore femme.
Il est poursuivit par une femme ayant perdu l’innocence de la petite fille.

L’histoire est sur le sol pour une grande part puis elle s’élève dans les cieux pour retomber dans les profondeurs chtoniennes.

Le héros de ce cycle cette histoire est certainement la petite fille Jill qui va parcourir sont propre chemin initiatique.

Alors comment devient-on adulte ?

  • En fuyant dans un monde imaginaire ? (Rosine)
  • En affrontant la réalité et en la changeant dans la mesure de ses moyens ? (Jill)

Ce cycle s’il m’a fait pensé tout au long de sa lecture à Peter Pan, il en st la thèse inverse, à travers le personnage de Jill. Et cela se fait avec l’aide du personnage du guerrier surnaturel; Guts, lui même.