La route du temps par Philippe Guillemant

Première compréhension de sa vision

Mon voyage dans l’essai

Début de lecture confus. Il m’a fallu plusieurs chapitre pour commencer à avoir un vrai désir d’aller plus loin dans le lecture. quelque fois des termes me gène comme « nous tenons pour acquis », pas forcément nécessaire car porteur de l’injonction que nous avons acquis et presque que cela est démontré.
Mais a part cela pour l’instant la démarche est intéressante. J’ai continué.

Coïncidence avec l’écoute de Bernard Stiegler a environ l’heure qui convoque le miracle, l’improbable, l’impossible.

Je pense également à ma propre vision du cosmos lors de l’écriture de mes campagnes de jeux de rôle, un univers à 11 dimensions dans Tsuvadra en 1998 :


Au centre c’est l’espace temps tel que nous le connaissons. Eden est le maître des temps potentiels, Primus est le maître de la matière potentiel, Songerie est la dimension créer par les rêves du vivant et Opacité par la conscience de la mort de ce même vivant, tous cela séparer par une micro dimensions double, un membrane plus ou moins épaisse qui sépare a notre raison de vivant les dimensions au delà de l’espace temps.

J’y retrouve le « bousculement » de ma lecture des « dialogue avec l’ange » par quelqu’un de formé aux démarches scientifiques. C’est troublant et possède un pouvoir de ré-enchantement du monde.

J’ai ressenti une écriture sincère, faites de question et de tentative de réponses, me laissant en tant que lecteur, libre de ma compréhension et de mes propres interprétations.

Et puis enfin, je comprends mieux ce qui m’avais troublé dans « Parties Communes » d’Anne Vassivière, a savoir les visions autour d’un acte qu’on ne comprend et qui n’existe qu’à travers ces