Ne me parlez pas de « Liberté »
Parlez moi de libérer
Ne me parlez pas « d’Amour »
Parlez moi d’aimer
Ne me parlez pas de « Salut »
Parlez moi de sauver
Libérez
Harmonisez
Aimez
Dansez

Ne me parlez pas de « Liberté »
Parlez moi de libérer
Ne me parlez pas « d’Amour »
Parlez moi d’aimer
Ne me parlez pas de « Salut »
Parlez moi de sauver
Libérez
Harmonisez
Aimez
Dansez
Armoire toute simple
Une simple porte de bois doré
J’en ouvre celle-ci
Et un cœur battant m’ébloui
Un cœur qui bat
Maintenant
Tabernacle
Tabernacle de l’univers
Tabernacle de la terre
Tabernacle de la forêt
Tabernacle au fond de moi
J’ouvre cette simple porte de bois doré
Et un chœur d’anges chante
Briser le lien
Qui nous enchaine
Pour se relier
Par nos chemins
Par l’acte d’Aimer
Par l’acte de se confier
Par le saut
A travers le néant
En cheminant dans ces nouvelles, j’ai rencontré quelques belles images. Comme cette jeune femme, jeune fille de 16 ans enceinte du Christ. Et cette image est envahi par un chœur d’homme, des moines chantant leur amour avec leurs belles voix graves. Mais, tristement, cette belle idée s’effiloche dans une médiation brumeuse et alors je perds l’image.
A la fin comme je referme définitivement le codex, il ne me reste qu’une vague impression d’inabouti. Oh, non, pas que ce soit désagréable mais une impression d’avoir consommé une pensée un peu superficielle, un divertissement intellectuel de faible amplitude, un faux prophète qui écrit de fausses paraboles.
Le jour de ma fin de lecture correspondait à la publication d’un article mathématique qui démontrer que vouloir prouver la non-existence de Dieu est irrationnel.
Étrange journée…