Bashô et Baudelaire

Mes deux B, Bashô pour le japon et Baudelaire pour l’Europe ! Mes deux poètes sur lesquels chaque semaine je reviens. Je prends le livre, j’évente ses pages et m’arrête au grès d’une destinée accepté avec grâce sur une page, lis le poème qui est là !

« Jésus Marie Joseph ! Mais que c’est beau ! »

Le beau, c’est l’explosion étrange qui transforme l’émotion en eau, avec son résidu de question ! Et ces questions sont la charpente de ma vie.
Je lis Bashô, je lis Baudelaire comme on tire le Osho(*) ou tarot de Marseille.

Tiens, il faudra un jour que je vous expose des écrits sur le tarot de Marseille !

Je regrette de ne pas voir dans le métro plus de personne avec un livre de poésie entre les mains. Idéal pour les courtes méditation du trajet, et tellement plus joli qu’un téléphone portable.

Donc, lu, relu et toujours en lecture. Je les garde toujours à portée dans un petit coin pour replonger dans quelques haïku pris au hasard, en tournant les pages, comme on tirerait les baguettes du YI-KING ou comme on poserait un diamant au Tarot de Marseille !
La poésie d’ici et du maintenant, l’éternité de l’instant ! La grâce de se sentir dans une vie vivante !

Bien venu ami(e)s humain(e)s !

Ce n’est pas une critique, c’est un retour d’expérience.
Ce n’est pas une lecture, c’est une prière.
Je vous livre un peu de l’intimité du confessionnal !

(*) Osho était un sacré brigand toutefois ! Le Guru à ne pas suivre ! Mais il a laissé un Tarot de toute beauté !