Ô, lectrice, mon inconnue
Pourquoi t’écrire mes larmes ?
Il était de toi étranger,
En un pays mystérieux.
Notre « Band of Sister and Brother »
Notre sorofraternité kendo Budo 11
A perdu un frère, un ami,
Un « amant » de combat.
Tu as pour éternel prénom Titus.
Titus Oppmann était ton nom.
Repose en Paix, Frère !
Contrebassiste et frère en houblon.
Repose en Paix, Frère.
Que la porte de ton esprit
Dirige ton âme vers IEL.
Nous resterons, ici, encore un temps,
Et nous laisserons couler nos larmes,
Elles arroseront tes coquelicots.
Dans la salle de combat,
Longtemps, nous chercherons ta présence.
Et je reste avec ma question,
Ô, lectrice, mon inconnue
Pourquoi t’écrire nos larmes ?
Alors j’ai pensé au feuilleton sur le blog d’Anne Vassivière :
Cela ne dure guère. L’une d’entre nous doit tôt lâcher l’affaire pour laisser la place à l’autre, disparaitre dans ce qui passe inaperçu ou presque pour notre mère se plaignant d’une simple perte sanguine.
Anne Vassivière Feuilleton : Les Saisons de Lili : Épisode 1