Éther d’Elle

On n’A pas
L’éternité
On ENTRE
Dans l’éternité.

C’es une porte
En la traversant l’amour devient matière

Dans cette Église en Touraine
Elle était à 1 mètre
Sur le banc devant,
À ma gauche.

De ce coté de la porte d’éther,
Une vibration éphémère,
Une passante, de Brassens et Pol,
Une inoubliable.
Et de l’autre coté de la porte,
Un monde naissant à la vie.
Aimer, vous prend partout
Et aussi dans les églises en Touraine.

Une jeune femme s’évanouissait
Et les pompiers l’emmenaient
Les parents n’étaient pas inquiet
C’était la messe pour Marie
En ce jour d’assomption !

Ce n’est pas en s’éloignant des humains
Qu’on se rapproche d’IEL.

À Marie, à Simone ma mère, à Thérèse sa sœur