Après que le maître sombre du pouvoir exécutif en France ait dissous l’assemblée nationale, escomptant une gauche divisée et livrant notre pays aux mains des crypto-fascistes, la gauche n’avait d’autre choix que de se rassembler en un front populaire de toute urgence. C’est ce qu’ils ont fait. Je crois que la pression du peuple de gauche dans les heures qui ont suivi la dissolution était telle que s’ils n’y avaient pas répondu, leur déshonneur aurait été au-delà de tout. Les égos devront être mis de côté pendant un certain temps.
Et ce soir-là, les « antifas », un de ces peuples de gauche, ces jeunes gens, ont de leur propre manière appelé les politiques de gauche à s’unir en organisant un carnaval improvisé dans les centres-villes.
« ANTIFAS » : Je trouve que ce mot « Antifas » ne rend pas hommage, ils ne sont pas contre, ils sont « pour » et « avec » la vie, la beauté, la fraternité, l’égalité sans égalitarisme, donnant ainsi naissance à la véritable liberté, non pas celle de « faire ce que je veux » comme un capricieux petit garçon blond de 5 ans, mais celle de vouloir ce que je fais. Et j’aime leur joie.
Haïku
Front populaire uni
Carnaval dans les rues,
joie antifas s’unit
Tanka
Dans les rues angoissées,
la joie antifas appelle à l’union
Front populaire fort
Contre la dispersion brune
La vraie liberté adviendra
Sonnet enfin juste presque
Dans les ombres brunes du pouvoir, la gauche réunie
Face à la dissolution, un front populaire né
Antifas appelle à l’unité, malgré le désarroi
La joie tragique éclate, nouvelle liberté en vue
Contre l’oppression, iels dansent et s’unissent
Les jeunes « antifas » proclament leur vérité
Pour un avenir égalitaire, sans conscience oubliée
Leur carnaval résonne, symbole de volonté unie
Ensemble, ils défient l’ordre de Sauron, solidaires
L’adelphité brille, dans la diversité
ProJoie, pour un monde juste, à venir
Dans cette tragédie commune, l’espoir renaît, éclaire
Dans la rue, la voix des peuples se libère
un avent fait de paix d’adelphité et d’égalité
un monde meilleur pointe, soufflons sur les braises pour qu il renaisse dans la totalité de ses cendres, en adelphité.
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