Quand je viens en Auvergne, je suis hobbit joyeux
Le pays et la faune existe en mon absence
Elle n’a pas d’utilité, elle est juste là.
Merveille qui émerveille, je deviens hobbit.
Quand je viens en Auvergne, je suis elfe espiègle.
Les nuits elle regarde souriante la voie lactée.
Elle n’est pas une fonction pour humain, juste là.
Prodige de l’amour qui relie plante et oiseaux.
La lumière de l’univers relie la matière.
Et en regardant le lac dans son doux cratère,
L’émerveillement de l’esprit relie l’amour.
Quand je viens en Auvergne, je suis hobbit joyeux
Quand je viens en Auvergne, je suis elfe espiègle.
L’amour d’IEL se nourrit à observer notre joie.
Et puis je retrouve un petit bocal de porcelaine blanche
Oh l’encrier de mon enfance
Engoncé dans ma table d’écolier,
Non loin mon porte plume en bois
Sa plume sergent major au tache si fraiche !
N’était-est-ce pas suffisant, finalement pour écrire ?








